Hoi An est considéré comme une des villes les plus séduisantes de l’Asie. Cette belle ville attire les touristes pour son ancienne beauté et aussi pour ses spécialités mises dans les paniers des marchands ambulants.

Autrefois, Hoi An était une ville très animée où se sont rencontrées la culture orientale et la culture occidentale. Donc, la cuisine de Hoi An connaît une grande diversité avec de différents plats de rue intéressants.
Chaque jour, à partir d’environ 2 heures, le cri des marchands ambulants retentissent dans toutes les petites rues. Quand les convives les appellent, ils mettent la palanche sur le trottoir et on peut goûter le plat sur place. De petits sièges sont disposés, les bols et les assiettes sont étalés sur ces « tables », puis les clients savourent lentement le plat en regardant les flux de véhicules.
« Les touristes venant des autres régions, du Sud, du Nord et aussi de l’étranger, s’intéressent beaucoup aux banh beo, banh loc mangés sur le trottoir. Des plats ne sont pas étrangers pour beaucoup de personnes mais la saveur et la façon de déguster constituent vraiment des traits typiques des habitants locaux », a partagé Huong qui est marchand ambulant depuis 20 ans.

Les touristes peuvent trouver dans les paniers de nombreuses spécialités de l’ancienne ville : banh beo (tarte de riz cuite à la vapeur), banh bot loc (tarte de farine blutée), dau hu (lait de soja caillé), cao lau (nouilles avec du porc et des légumes), mi Quang (nouilles de Quang), hen tron (corbiculas mélangés).
Des banh bot loc, des nem et des cha sont bien rangés dans les marmites. La sauce saumure piquante et sucrée typique des habitants du Centre saisit les pas des touristes. Des auberges mobiles s’insinuent dans les ruelles et des plats chauds sont toujours prêts à être mangés.
Des types de compote liquide (compote liquide de maïs, de doliques rouges, de doliques d’Egypte) sont préparés des ingrédients venant de la région au bord de la rivière de Hoai. Particulièrement, la compote liquide de sésames noirs chaude qui peut séduire les convives les plus difficiles.

Une autre raison qui explique l’appréciation des touristes pour les plats des marchands ambulants est le prix populaire et agréable. Un petit bol de banh beo ou un gâteau de patate coût 5.000 dongs, une assiette de banh loc ou un maïs 10.000 dongs, un bol de mi Quang ou de cao lau 20.000 – 30.000 dongs… Pour des banh ram (croustade farcie) ou des gâteaux sucrés, il faut aussi seulement 5.000 – 10.000 dongs.
Des marchands ambulants à Hoi An ne sont pas interdits comme dans d’autres villes. Par contre, ils deviennent un beau trait de la culture, de la cuisine de la ville et contribuent au développement du tourisme et de la vie des habitants. Les vendeurs doivent respecter les règles et surtout, ne racolent pas les clients et n’augmentent pas le prix.
Des femmes avec des palanches sur leur épaule sont des images très familières à Hoi An. Des personnes amicales et hospitalières, des plats délicieux à côté d’anciennes maisons de la ville laissent toujours de bonnes impressions aux touristes.

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