Le laboratoire pharmaceutique français Virbac a ouvert son premier centre de recherche et développement dédié à l’aquaculture en eaux chaudes au Vietnam

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Le laboratoire pharmaceutique français Virbac a ouvert son premier centre de recherche et développement dédié à l’aquaculture en eaux chaudes au Vietnam

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 Créé en 1968 par un vétérinaire français, Virbac est un laboratoire pharmaceutique dédié à la santé animale et aujourd’hui présent dans plus de 100 pays. Virbac a inauguré le 23 février son premier centre de recherche et développement dédié à l’aquaculture en eaux chaudes dans la province de Dong Nai au Vietnam.

Avec l’ouverture de son nouveau centre de recherche et développement au Vietnam, Virbac entend proposer des solutions innovantes pour soutenir l’avancée de l’aquaculture en eaux chaudes et anticiper la montée en puissance de ce secteur en travaillant main dans la main avec les acteurs locaux, experts dans ce domaine. Le Vietnam est en effet un pays d’aquaculture important, riche en espèces d’eaux chaudes, et concerné par des pathologies aquacoles également présentes dans d’autres pays. Cette localisation permet à Virbac donc de mener, à partir du Vietnam, des études sur des microorganismes pathogènes identifiés localement mais qui pourront servir au développement de solutions vaccinales et thérapeutiques pouvant être exportées pour soutenir le développement de l’aquaculture sur le marché mondial.

Selon les statistiques démographiques des Nations Unies, la population mondiale pourrait atteindre 9 milliards d’individus en 2030 et les espèces aquatiques constitueront sans aucun doute l’une des principales sources de protéines et de minéraux pour l’Homme. En effet, l’aquaculture apparaît, avec sa très faible empreinte écologique, comme une solution pérenne pour nourrir la planète sur le long terme, impliquant une demande en élevage aquacole croissante.

- L’aquaculture en eaux froides est bien installée depuis les années 70 et a connu de nombreuses évolutions en termes de techniques d’élevage, de besoins en nourriture, soins et médicaments, auxquels les industriels ont déjà apporté de nombreuses réponses. Cependant, elle ne représente qu’un faible pourcentage des productions aquacoles mondiales (moins de 10%), et elle ne suffira pas à elle seule à répondre aux enjeux alimentaires futurs.

- L’aquaculture en eaux chaudes, qui représente la grande majorité des productions aquacoles en tonnage avec les carpes, les tilapias et les crevettes par exemple, tend donc fortement à se développer et engendre de nouveaux besoins en recherche et développement.

(Source info: petitesaffiches.fr)

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